Les photos, peintures et textes de ce blog ne sont pas libres de droit. Toute diffusion, reproduction ou modification sous quelque forme que ce soit, partielle ou totale, ne peut se faire sans l'accord préalable écrit et préalable de l'auteur. En vertu de l’article L122-4 du code de la propriété intellectuelle, toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’auteur est illicite. Dans le cadre des blogs, il est toutefois possible de choisir une photo pour faire une note spéciale sur « Regard sur Bénarès», dans laquelle devront figurer clairement le titre "Regard sur Bénarès", le nom de Pénélope ainsi qu'un lien apparent en mode texte vers ce blog.
Pourquoi l'Inde???
L'Inde pour son métissage exclusive de cultures anciennes héritées d’un passé légendaire, d’un présent vivant et plein de saveur.
L'inde pour ces monuments et ces ruines, livres ouverts sur une histoire lourde de plusieurs milliers d’années et non interrompue.
L'inde pour ses Hindous, Perses, Afghans, Turcs, Moghols
et Britanniques, qui ont influencé ce brassage culturel.
L’inde parce qu'elle grouille de monde, de jeunes filles
en tee-shirts et pantalons, de femmes en saris de splendides jardins, d'enfants, d'hommes, de vieillards, de sourires, de regards, de bruits, d’odeurs, de couleurs, de vaches, de chiens, d’oiseaux, de poussière, de poubelles, de magasins, de rickshaws, de motos, d’automobiles, de pousse-pousse, de tongas tirés par des chevaux…
J’avoue être un peu déboussolée...
VARANASI – BENARES – KASHI
Varanasi (anciennement Bénarès) est l'une des sept villes saintes de l'hindouisme.
Se baigner dans le Gange à Varanasi est censé purifier de tous les péchés et se faire incinérer sur les ghats permet de se libérer du cycle des réincarnations.
Son nom actuel vient de deux rivières, la Varuna et l'Assi.
Par le passé la ville s'est appelée Kashi et Bénarès.
Son nom est mentionné dans des textes sacrés hindous et bouddhistes et elle se trouvait sur le trajet des voyageurs venus d'Asie Centrale et de Chine.
Elle serait l'une des plus vieilles villes du monde.
Elle dégage une atmosphère tout à fait particulière tellement la vie et la mort se côtoient à chaque coin de rues.
Aujourd'hui la ville est aussi connue pour sa soie et ses saris…
Histoire de la principauté
Le royaume de Kâshî ou Bânaras est fondé par Khsetravridha de la dynastie Somavansa de Pratishthana. La ville est ravagée par les Shvetahûna, puis le royaume est conquis par les musulmans en 1194. Le territoire est intégré ensuite à l'Oudh, un territoire tributaire des empereurs moghols. Les Nâwab de l'Oudh le cèderont en 1775 aux Britanniques qui le reconnaîtront comme territoire familial, avant de le faire accéder au statut de principauté en 1911. La famille régnante prétendait descendre du dieu Shiva et tirait un grand bénéfice des pèlerinages dans leur ville.
Les Ghats...
Les ghats sont les marches qui plongent dans le fleuve et qui servent aux bains rituels des hindous. Certains ghats sont réservés à la crémation des morts. Il y a une centaine de ghats le long du Gange. Les pèlerins accomplissent le Panchatirthi Yatra qui consiste à aller se baigner dans cinq ghats dans un ordre bien précis. Ces ghats sont l'Assi Ghat, le Dashaswamegh Ghat, le Manikarnika Ghat, le Panchganga Ghat et le Adi Kesava Ghat. De nombreux ghats méritent une visite.
Assi Ghat : c'est le ghat le plus au sud de la ville, il se trouve à la confluence du Gange et de l'Assi ce qui lu confère son caractère sacré. Dasaswamedh Ghat : c'est l'un des principaux ghats de Varanasi. Brahma y aurait sacrifié 10 chevaux (dasa-asva-medha) afin de permettre la venue de Shiva dans la ville. Plusieurs temples se trouvent en haut du ghat. Manikarnika Ghat : sans doute l'un des plus anciens ghats de crémation de la ville. C'est ici que la plupart des morts sont brûlés. En haut des marches se trouve le puits de Manikarnika. Il tire son caractère sacré d'après une légende selon laquelle Shiva (ou Parvati) aurait laissé tomber un anneau à cet endroit. Il aurait alors creusé un trou pour la récupérer. Non loin de ce puits se trouve une dalle sur laquelle Vishnu aurait laissé ses empreintes de pieds.
Panchganga Ghat : il serait construit au point de confluence de cinq rivières : le Gange, la Yamunâ, la Sarasvatî, la Kirna et la Dhupapapa mais seul le Gange existe réellement à cet endroit. Des nombreuses fêtes ont lieu à cet endroit durant l'année. Les fidèles allument des lampes à huile qu'ils posent sur une grosse colonne. Adi Kesava Ghat : situé à la confluence de la Varuna et du Gange, ce ghat serait le plus ancien de la ville. C'est ici que Vishnu aurait posé le pied pour le première fois à Varanasi. Lalita Ghat : construit par le roi du Népal Virendra après sa visite dans la ville. Il construisit aussi un temple népalais en haut des marches, réplique du temple de Pashupatinath à Katmandou .
Bhonsala Ghat : construit en 1780 par le roi marathe Bhonsala. On y trouve le temple de Lakshmi et un palais. Près du palais se trouvent les sanctuaires de Yameswara et Yamaditya.
Kedar Ghat : construit par le maharaja de Vijayanagar et dédié à Shiva. Non loin se trouve le Gauri Kund (puits) dont l'eau aurait des propriétés curatives. C'est le lieu de rassemblement des pèlerins bengalis et du sud de l'Inde.
Les crémations
Un cadavre est apporté près du ghat Harishchandra. La crémation va se faire en plein air devant les badauds. La famille du mort est grave mais ne montre pas son chagrin. L'événement est très lent, sans rituel, sans mise en scène de la mort, sans prêtre. Et le cadavre semble parfois très seul. Enveloppé de tissu et papiers dorés, recouvert de colliers de fleurs, le cadavre est plongé dans l'eau purificatrice du Gange, puis déposé sur le bûcher.
Le spectacle devient alors comme surréaliste. Au travers de la fumée blanche qui s'échappe du bûcher on voit soudain un pied en l'air. Parfois les bras calcinés s'élèvent vers le ciel. Une autre fois, cette tête chauve restée accrochée à un corps incandescent. Des visions sidérante : des enfants lavent énergiquement du linge, la poussière de cendre se déposant sur les vêtements qui sèchent. Une brochette d'hommes regarde nonchalamment les bûchers en se brossant les dents.
L'Hindouisme...
L'hindouisme, ou plus exactement le Sanâtana Dharma, est plus une façon de vivre et de penser qu’une religion organisée. Historiquement, « hindou » ne fait pas référence à un système de croyances religieuses ; le terme d’origine persane se rapporte aux personnes qui vivent de l’autre côté. Après la colonisation britannique, le terme a été employé pour indiquer un ensemble flou de faits religieux. En 1966, la cour suprême de l'Inde a défini le cadre de la foi hindoue comme suit :
l’acceptation respectueuse des Veda comme la plus Haute Autorité sur les sujets religieux et philosophiques et l’acceptation respectueuse des Veda par les penseurs et philosophes hindous comme base unique de la philosophie hindoue,
l’esprit de tolérance et de bonne volonté pour comprendre et apprécier le point de vue de l’adversaire, basé sur la révélation que la vérité comporte plusieurs apparences,
l’acceptation par chacun des six systèmes de philosophie hindoue d’un rythme du monde qui connaît des périodes de création, d’entretien et de destruction, périodes, ou Yuga, qui se succèdent sans fin,
l’acceptation par tous les systèmes de la philosophie hindoue de la croyance dans la renaissance et la pré-existence des êtres,
l’identification du fait que les moyens ou les manières d’accéder au salut sont multiples,
la réalisation de la vérité que, aussi grand que puisse être le nombre des divinités à adorer, on peut cependant être hindou et ne pas croire qu’il faille adorer des idoles,
à la différence d’autres religions, ou croyances, la religion hindoue n’est pas liée à un ensemble défini de concepts philosophiques.
Selon un autre point de vue, un hindou est celui qui croit à la philosophie exposée dans les Veda (ou savoir). Les Veda sont peut-être les écritures religieuses les plus anciennes du monde. Leur enseignement de base est que la vraie nature de l’homme est divine. Dieu, ou le Brahman comme il est généralement nommé, existe en chaque être vivant. La religion est donc une recherche de la connaissance de soi, une recherche du divin présent en chaque individu. Les Veda déclarent que personne n’a besoin « d’être sauvé », car personne n’est jamais perdu. Dans le pire des cas, on vit dans l’ignorance de sa vraie nature divine. En particulier la référence aux femmes comme autorité religieuse (avec existence ... L'hindouisme est d'autre part plus tolérant envers les autres idées
Le Védanta reconnaît qu’il y a beaucoup d’approches différentes de Dieu, et toutes sont valides. N’importe quel genre de pratique spirituelle mène au même état de réalisation de soi. Ainsi, le Vedanta enseigne le respect de toutes les croyances et se distingue de la plupart des autres religions majeures par leur fort encouragement à la tolérance envers ces différents systèmes de croyance.
En sanscrit védique, le mot Sindhu signifiait en particulier le fleuve Indus, mais aussi une rivière ou une étendue d'eau en général (par exemple, une mer ou un lac). Les Aryens appelent leur territoire Sapta Sindhu : la terre aux sept rivières (y compris l'Indus). Cette expression est attestée à plusieurs reprises dans le Rig-Veda. Le son phonétique /s/ de la branche indo-aryenne des langues indo-iraniennes (représentée par le sanscrit) est linguistiquement analogue avec le son /h/ de la branche iranienne (représentée par l'avestan et le persan ancien). Donc, le terme "Sapta Sindhu" est devenu Hapta Hindou en Avesta, l'écriture sacrée des Iraniens anciens (Vendidad : Fargard 1,18). Ainsi, l'Inde, à l'est de l'Indus, était appelée Hindustan, et ses habitants ont été appelés hindous par les Persans, puis à leur suite, par les Arabes. Enfin, le terme persan a été repris sous la forme « India » en grec, latin et anglais, et « Inde » en français. Le mot hindou, probablement en raison de l'influence iranienne — dans le sens de "gens d'Inde" — est utilisé dans quelques-uns des textes de sanscrit médiéval, comme le Bhavishya Purâna, Kâlikâ Purâna, Merutantra, Râmakosha, Hemantakavikosha et Adbhutarûpakosha. Aujourd'hui (et aussi en sanscrit ancien), la façon officielle de dire "Inde" en Hindi est Bhârat, et le nom de l'Inde est Bhârata.
L'hindouisme est appelé religion Aryenne (Arya Dharma), ce qui signifie religion noble. On trouve aussi le terme de Vaidika Dharma (la religion védique).
Om (ou Aum, ॐ) est le symbole le plus sacré de l'hindouisme, il est utilisé comme préfixe et parfois suffixe aux mantra-s et toutes prières hindous. Il est empli d'un message symbolique profond : il est considéré comme la vibration primitive divine de l'Univers qui représente toute existence, entourant toute nature dans Une Vérité Ultime.
Boiriez-vous de cette eau ?
Sur 7 km, 30 égouts déversent les déchets de 2 millions de personnes. Le Gange est étouffé par la pollution !
Voir des centaines de gens plonger la tête dans cette eau pour se purifier fait froid dans le dos. Des plastiques, des ordures sont déversées dans le fleuve recouvert à certains endroits d'une nappe huileuse. Rassurez-vous, comme nous le dit notre batelier : "Seule la surface est sale, en-dessous le Gange est pur" !
Les rues de Bénarès peuvent aussi donner la nausée. Tous les dix mètres une poubelle en plein air, une odeur nauséabonde et des mouches qui se réjouissent. Il faut fermer la bouche et se boucher le nez : apnée temporaire salutaire !
Et malgré tout, Bénarès reste si belle !
Poésies et Citations Indiennes...
L'homme qui observe évolue continûement jusqu'à ne faire qu'un avec le courant des choses.
Sans rien, sans saisie, telle est l'île où il n'y a plus de retour ici-bas. Je l'appelle Extinction, cet épuisement complet de la vieillesse et de la mort.
Tel un mirage dans le ciel, la gazelle assoiffée voit de l'eau où il n'y en a guère. Ainsi les esprits puérils ne voient pas les choses comme les mystiques les voient ! Pure est l'intuition des mystiques qui cheminent dans l'absence de représentations. Elle jaillit de la triple libération et est affranchie de naissance et de destruction. Quand toutes les choses s'effacent pour les yogins, les représentations cessent. De l'égalité de l'existence et de la non-existence procède le fruit pour les mystiques. Comment les choses cessent-elles d'exister et comment l'égalité se produit-elle ? Privée de Connaissance, la conscience est agitée intérieurement et extérieurement, mais dès que ce désordre prends fin, la conscience perçoit l'égalité.
RECETTES...
POULET TIKKA:Ingrédients :1 gros poulet, 2 oignons, 2 gousses d'ail, une petite racine de gingembre, 1/4 l de yoghourt, 1 CC de chili en poudre, 1 CC de garam massala, 1 CC de coriandre moulue, 1 CC de colorant rouge, le jus de citron, Sel. Pour la garniture : Rondelles de citron, Feuilles de laitue, Rondelles de tomates et d'oignonsRecette :Dépecez le poulet et à l'aide d'un couteau effilé, désossez-le et détachez la chair. Découpez-le en morceaux moyens. Râpez les oignons, l'ail et le gingembre. Mélangez ces ingrédients au yoghourt, ainsi que le chili, le garam massala et la coriandre. Assaisonnez de sel et de jus de citron et colorez. Nappez le poulet de cette préparation et laissez-le mariner une nuit. Le lendemain, Placez les morceaux sur des brochettes et faites-les rôtir pendant 10 minutes. Servez sur un lit de feuilles de laitue, avec des rondelles de tomates, d'oignons et de citrons.RAITA:Ingrédients :4 boite de yaourt, Un brin de menthe 1 concombre, Du sel Du coriandre en poudre, 1/2 tasse de lait. Recette :1- Dans un bol mélanger le lait et le yaourt jusqu'à ce que cela devienne fluide . 2-Ajouter le sel et la poudre de coriandre. 3-Ajouter la menthe finement hachée. 4-Ajouter le concombre râpé. Conseils :A la place de concombre on peu rajouter des tomates, des pois chiches. Et d'autres épices comme du piment en poudre. CHAPPATI ou RUTI:Le pain indien classique
Ingrédients:
Pour 8 chapati. Préparation et cuisson pour huit galettes : 1 h. Repos : 1 h.
225 g de farine de blé semi-complète (ou complète),
50 g de beurre (facultatif),
150 ml d’eau tiède environ,
1 c. à c. de sel (environ 5 g),
un peu de beurre ramolli,
Méthode:
Dans une jatte, mélanger la farine serai-complète et le sel. Incorporer le beurre mou en travaillant du bout des doigts. Faire un puits et y verser la moitié de l’eau.
Malaxer 10 mn et incorporer le reste d’eau. Attention : la quantité d’eau diffère selon la qualité des farines ! On doit obtenir une pâte assez ferme, mais très souple et élastique. Si elle se craquelle, elle est trop sèche. Si elle colle, il y a trop d’eau.
Faire une boule. Couvrir d’un linge et laisser reposer 1 h à température ambiante.
Diviser ensuite la pâte en huit portions. Faire huit boules. Etaler chacune au rouleau sur le plan de travail, en faisant une abaisse ronde de la taille d’une petite assiette de 3 mm d’épaisseur. Faire chauffer à sec et à feu assez vif une grande poêle à fond épais. Saupoudrer de farine. Placer une abaisse de pâte. En 30 s, apparaissent des cloques en surface. Appuyer alors sur le chappati à l’aide d’un linge mis en boule pour que la cuisson soit uniforme. Retourner. Répéter l’opération deux fois pour chaque face. En 5 à 7 mn la galette est cuite. Les chappati doivent être dorés et présenter des taches brunes des deux côtés. Retirer du feu et placer sur une assiette ou un linge. Enduire d’un peu de beurre ramolli.
Au fur et à mesure de leur cuisson, placer les chappati l’un sur l’autre, les enduire de beurre et les recouvrir.
NAN:Ingrédients:
1 livre de farine,
2 cuillères à café de levure sèche,
1 cuillère à café de sucre,
1/2 cuillère à café de bicarbonate de soude,
1 cuillère à soupe de graines de sésame ou d’oignon,
35 g de beurre fondu,
60 g de yaourt,
Méthode:
Mélanger la levure et le sucre à une cuillère à soupe d’eau chaude.
Mettre le mélange de côté et attendre qu’il devienne mousseux.
Tamiser la pâte, le sel et le bicarbonate de soude ensemble, y incorporer le beurre, le yaourt et la levure.
Ajouter un peu d’eau. Bien pétrir jusqu’à obtention d’une belle pâte lisse.
Couvrir avec un linge et laisser lever la pâte pendant 2 à 3 heures.
Pétrir à nouveau la pâte et former une douzaine de boulettes.
Les étendre sur une planche farinée sous forme de galettes ovales. Les badigeonner de beurre et les saupoudrer de quelques graines d’oignon ou de sésame.
Faire cuire dans un four préchauffé à 200°C, 5 à 6 minutes.
Servir bien chaud avec du curry, des lentilles ou des légumes.CHEESE NAAN:Ingrédients (pour 6 pièces) :- 300 g de farine - 1 yaourt nature - 1 pincée de sel - 1/2 sachet levure chimique - 1 cuillère à soupe d'huile - un peu d'eau tiède - du gruyère râpé. Préparation :Mélanger la farine avec le sel, la levure, l'huile et le yaourt. Travailler la pâte et ajouter si besoin un peu d'eau tiède afin d'obtenir une pâte molle. Laisser reposer 10 minutes. Séparer la pâte en 6 parts que l'on aplatit en forme de galette. Parsemer généreusement de fromage râpé et redonner un ou deux tours à la pâte (c'est à dire la replier et la repasser au rouleau). Cuire dans une poêle épaisse à revêtement anti-adhésif pendant 3 minutes de chaque côté jusqu'à ce que la galette soit bien gonflée. Servir très chaud. POULET TANDOORI:Préparation :5 mn, Cuisson : 3h30, Marinade : 3h. Ingrédients (pour 6 personnes) :- 4 cuisses de poulet et 8 blancs - 200 g de yaourt - 1 cuillère à café de coriandre en poudre - 1 cuillère à café de garam masala (mélange d'épices) - 1/4 cuillère à café de curcuma - 1/4 cuillère à café de gingembre en poudre - 1/4 cuillère à café d'ail en poudre et de paprika - 2 cuillères à café de jus de citron - 3 cuillères à soupe d'huile - sel. Préparation :Mélanger toutes les épices avec le jus de citron et le yaourt. Immerger les morceaux de poulet dedans et laisser mariner pendant 3 heures (couvert à température ambiante).Remuer de temps en temps. Poser ensuite les morceaux de poulet sur la plaque du jour préchauffée et faire cuire pendant 3 heures 1/2 environ (à thermostat 7). Au moment de servir, arroser de quelques gouttes de jus de citron.
RIZ AU SAFRAN:Préparation :20 min, Cuisson : 20 min, Ingrédients (pour 6 personnes) :- 500 g de riz basmati - 1 oignon - 1 tomate - 1 cuillère à soupe d'huile d'olive - 1 pincée de clou de girofle - 1 pincée de cardamome verte - 1 bâton de cannelle - 1 cuillère à soupe de cumin antillais - 1 cuillère à soupe de gros sel - 2 étoiles de badiane (anis étoilé) - 2 g de safran - 1 pincée de colorant rouge. Préparation :Mettre à tremper les filaments de safran dans un verre d'eau tiède et une pincée de colorant. Rincer le riz 3 ou 4 fois à l'eau bouillante.Laisser tremper pendant 15 min. Faire chauffer l'huile dans une casserole y faire revenir l'oignon émincé et la tomate coupée en dés. Ajouter les épices et le sel.Bien mélanger puis ajouter 1 l d'eau et laisser frémir 5 min. Rincer le riz, le couvrir d'eau et laisser cuire à couvert pendant 8 min.Le riz doit avoir absorbé tout le liquide et les grains doivent se détacher facilement. Verser le riz dans un plat allant au four.Verser dessus en croix la préparation au safran filtrée. Couvrir le plat d'un torchon humide puis d'un couvercle.Mettre au four préchauffé à 180°C (thermostat 6) pendant 20 min. Au moment de servir mélanger le riz à la cuillère. CURRY DE POMMES DE TERRE ET DE PETITS POIS:Préparation : 10 min. Cuisson : 15 min. Ingrédients (pour 4 personnes) : - 5 cuillères à soupe de beurre clarifié (ghee) - 2 gousses d'ail écrasées - 2 gousses d'ail entières - 2 feuilles de laurier - 1 bâton de cannelle - 1 cuillère à café de Garam Masala - 1 cuillère à café de poudre de Chili - 1/2 cuillère à café de curcuma - 1/2 cuillère à café de coriandre - 4 tomates coupées en quartiers - sel - 8 pommes de terre moyennes coupées en morceaux - 2 tasse de petits pois. Préparation : Faire fondre l'oignon et l'ail dans une poêle avec le beurre. Ajouter les gousses d'ail entières, les feuilles de laurier et le bâton de cannelle. Faire frire 2 minutes. Ajouter alors le garam masala, la poudre de Chili, le curcuma, la coriandre, les tomates, le sel et bien mélanger. Ajouter les pommes de terre et les pois. Couvrir d'eau chaude et porter à ébullition.Baisser le feu, couvrir et laisser cuire 15 minutes. Servir chaud. Curry de poulet pistaches et noix de coco (rencontres marmiton 2):Préparation : 30 mn. Cuisson : 40 mn. Ingrédients (pour 4 personnes) : - 1 kg de poulet - 150 g de pistaches décortiquées (non salées) - 20 cl de crème fraîche - 1 yaourt nature (idéal: yaourt grec) - 4 oignons émincés - 2 gousses d'ail émincées - 2 cuillères à soupe de gingembre en poudre ou en morceaux - 1 pincée de curcuma - 2 cuillères à soupe de garam massala (mélange d'épices, si vous n'en trouvez pas prenez du mélange pour korma) léger (1 cuillère si vous avez du mélange fort) - 1 cuillère à café de poivre blanc moulu - 2 piments verts - 2 tomates en dés - 1 boîte de lait de coco (40 cl) - 1 pleine cuillère à soupe de coriandre - 5 ou 6 graines de cardamome verte - 1 cuillère à soupe de fenouil en poudre (facultatif) - 1 cuillère à café de cannelle en poudre (ou de laurier si vous n'aimez pas la cannelle). Préparation : Faites bouillir vos pistaches quelques minutes dans de l'eau. Pendant ce temps, couper le poulet en dés (2x3 cm environ). Egouttez les pistaches, puis enlevez leur gangue marron-rose à la main (c'est l'opération la plus longue). Passez au mixer les pistaches, la crème fraîche et les deux piments passés coupés en petits momrceaux (s'ils sont très forts, retirez les graines).Vous devez obtenir un mélange vert pâle. Faites revenir quelques minutes (5 mn environ) à feu assez fort les oignons, l'ail, le fenouil, le gingembre, la cannelle (ou le laurier) et le garam massala à la poêle avec un peu de matière grasse (très peu). Rajoutez le mélange aux pistaches, puis faites cuire quelques minutes (toujours à feu fort). Rajoutez les dés de poulet et laissez cuire 5 mn. Baissez le feu (feu moyen) et rajoutez la tomate, le yaourt, le sel, le poivre blanc moulu et le lait de coco. Laissez mijoter 20 à 30 mn. Quand le poulet est cuit, ajouter la cardamome moulue (ouvrir les graines vertes, prendre les petites graines situées à l'intérieur et les moudre au mortier ou, plus simplement, au moulin à poivre). Mélanger et laisser cuire encore 2 mn. Saupoudrer abondamment de coriandre avant de servir, avec un riz basmati safrané ou un riz aux fruits secs (amandes, raisins secs).
1 commentaire:
Premiers gestes ...
Photo magnifique qui donne envie d'embarquer vers cette lumière si paisible ...
BRAVO !!!
Enregistrer un commentaire